Après le confinement, le dressage se remet en selle

Le premier concours de l’année de dressage de chevaux s’est déroulé ce samedi, à La Tamoa, à Païta. Une reprise réussie, après la période de confinement, puisqu’une soixantaine de participants était inscrite.
 

C’était une journée particulière pour les chevaux et leurs cavaliers. Chacun a sorti sa plus belle parure et sa plus belle coiffe. « Les cavaliers passent beaucoup de temps avec leurs chevaux, car c’est une discipline qui demande beaucoup de travail. On ne peut pas réussir en dressage si on n’a pas une préparation en amont », précise Sandrine Gaude, présidente de l’association du concours du Kato. Un évenement auquel ont participé plus de soixante personnes, soit une fréquentation en hausse par rapport aux autres années. 
 

Complicité avec l’animal 

Être précis sur son tracé, avoir une conduite fluide, présenter des allures au pas ou au galop avec son cheval… Ce sont sur ces points que le jury est attentif. Au-delà de la technique, la complicité entre l’animal et son dresseur doit être en harmonie. C’est le cas de Maxime Josse et de sa jument. « Ça s’est bien passé. Je me suis entraîné toute la semaine. Le cheval est toujours plus stressé en concours. Quand il y a une complicité, c’est plus agréable. »

Concours de dressage

Maxime Josse et sa jument Diamantine ©Jeannette Peteisi

Le dressage de chevaux est une discipline exigeante qui nécessite des mois de travail avec l’animal. Il faut être passionné et patient pour pouvoir, un jour, murmurer à l’oreille des chevaux.    

Le reportage radio de Jeannette Peteisi 

Reportage dressage de chevaux

Source : NC la 1ère

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