Al-Khelaïfi impatient d’affronter l’Atalanta

Le président du Paris Saint-Germain a hâte que son équipe retrouve enfin le chemin de la compétition. La Ligue des champions est en point de mire des Franciliens, et l’Atalanta ne sera pas un adversaire pris à la légère.

Ces dernières années, le Paris Saint-Germain n’a que trop rarement été en réussite en Ligue des champions. Même quand les pensionnaires du Parc des Princes étaient désignés favoris dans les tours à élimination directe, ils ont fini par décevoir. C’était le cas contre le FC Barcelone avant la «remontada» désormais historique, car après avoir remporté le match aller largement (4-0), les chances catalanes étaient bien minces.

L’Atalanta, trop facile ?

Manchester United ne devait pas, non plus, opposer une trop vive résistance à l’armada francilienne en 2019… La suite, tout le monde la connait. Alors cette fois-ci, les Rouge et Bleu ne veulent surtout pas se laisser piéger par les apparences. Car à Lisbonne en août prochain, à l’occasion d’un Final 8 forcément singulier de C1, c’est l’Atalanta Bergame qui se posera en premier adversaire, sur une confrontation simple.

Un adversaire qui sera respecté

L’opposition n’apparaît pas très prestigieuse, mais présente de vraies qualités à ne surtout pas prendre à la légère. Déjà, Nasser Al-Khelaïfi en est conscient. «C’est un adversaire qu’on respectera, comme nous le faisons toujours, et qui confirme cette année sa présence parmi les meilleures équipes italiennes du moment», promet le président du PSG via les outils de communication officiels du club. Il le faudra impérativement, pour éviter une grosse désillusion d’entrée.

D’abord la Coupe de France et  la Coupe de la Ligue

«Nous avons d’abord deux finales de coupes nationales à jouer à la fin du mois. Ce seront deux matches de haut niveau pour nos joueurs et notre staff. Ils sont mobilisés vers ces deux premiers matches et, ensuite, soyez-en sûrs, ils mettront tout leur cœur pour honorer notre maillot en Ligue des champions», ajoute le Qatari. La parole de la direction est donnée, aux joueurs de la concrétiser le mois prochain.

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Trulli

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  • 1/10

    30 – Lothar Matthäus (Allemagne)

    Capitaine emblématique de la RFA sacrée championne du monde en 1990, Lothar Matthäus est un monstre de longévité au plus haut niveau. Milieu de terrain reconverti avec succès au poste de libéro, l’intéressé qui fit les beaux jours du Bayern ou de l’Inter était d’une polyvalence rare. Ballon d’Or 1990, il a marqué de son empreinte deux décennies de football.

  • 2/10

    29 – Dennis Bergkamp (Pays-Bas)

    Des gestes d’une classe incomparable, une aisance unique balle au pied, Dennis Bergkamp aura été un artiste du ballon rond, de ceux qui marquent les esprits plus que les livres d’Histoire. A l’Ajax et à Arsenal, celui qui fut l’un des dignes héritiers de l’illustre Johan Cruyff n’a laissé que des bons souvenirs. Si ce n’est cette phobie fatalement handicapante de l’avion…

  • 3/10

    28 – Socrates (Brésil)

    L’élégance incarnée sur un terrain de football, Socrates était d’un gentleman doté d’une technique avant-gardiste pour la fin des années 70 et le début des années 80. Sa vision du jeu, sans commune mesure à l’époque, a permis au Brésil d’entretenir sa légende malgré une parenthèse de disette sur la scène internationale. Le frère aîné de Rai, docteur en médecine et leader politique, avait du reste plus d’une corde à son arc.

  • 4/10

    27 – Thierry Henry (France)

    Meilleur buteur de l’histoire des Bleus (51 réalisations) et meilleur buteur français de l’histoire toutes compétitions confondues (411 buts), Thierry Henry est certainement le plus grand attaquant de pointe à avoir évolué sous le maillot frappé du coq. Véloce, percutant et doué d’un sens inné du but, celui qui a embrassé la carrière d’entraîneur peut se targuer d’avoir été récemment désigné meilleur joueur de l’histoire de la Premier League dans les colonnes d’un tabloïd.

  • 5/10

    26 – Franco Baresi (Italie)

    Pilier de l’AC Milan et de la Squadra Azzurra, Franco Baresi a longtemps fait figure de référence au poste de libéro. Dur sur l’homme, doté d’un sens du placement exceptionnel et quasi intraitable dans sa zone d’intervention, « il capitano » était du reste un excellent tireur de penalty. Le fameux catenaccio italien n’a jamais aussi bien porté son nom que servi par ses soins.

  • 6/10

    25 – Karl-Heinz Rummenigge (Allemagne)

    Dirigeant actif du Bayern, le club de ses plus belles années de joueur, Karl-Heinz Rummenigge est à l’instar de Franz Beckenbauer ou Gerd Müller une référence du football allemand. L’un des meilleurs attaquants de sa génération, dans les années 70 et 80, avec à la clef deux Ballons d’Or (1980, 1981), un titre de champion d’Europe et deux finales mondiales malheureuses notamment.

  • 7/10

    24 – Raymond Kopa (France)

    Attention légende… Raymond Kopa, figure du grand Stade de Reims, a conquis dans sa carrière le Real Madrid à une époque où les footballeurs n’étaient que rarement aventureux. Ballon d’Or 1958, le virevoltant ailier fut désigné cette année-là meilleur joueur de la Coupe du monde, portant l’équipe de France sur la troisième marche du podium. Un monument.

  • 8/10

    23 – Xavi Hernandez (Espagne)

    Indissociable de l’histoire du Barça – dans les années à venir certainement encore – Xavi Hernandez est l’incarnation même de la pépite de la Masia, à l’instar de ses partenaires fétiches Lionel Messi et Andres Iniesta. Aussi décisif sous la tunique blaugrana que sous le maillot rouge de l’Espagne, l’ancien milieu relayeur possède un palmarès long comme le bras… Et il a le bras long.

  • 9/10

    22 – Andres Iniesta (Espagne)

    Toujours en activité au Japon, Andres Iniesta, 36 ans, a fait 16 saisons durant le bonheur du FC Barcelone, non sans éclairer par ailleurs de son génie la Roja. Joyau de la Masia, l’intéressé a composé un véritable trio magique avec ses compères Leo Messi et Xavi Hernandez. Un grand, très grand, du haut de son mètre 71.

  • 10/10

    21 – Paolo Maldini (Italie)

    Bon sang ne saurait mentir. Fils de Cesare Maldini, Paolo est tout simplement l’un des plus grands défenseurs de l’histoire – le deuxième de notre Top 100 dans sa globalité. Joueur élégant, réputé tant pour son talent de footballeur que pour ses qualités d’homme, celui qui n’a guère porté que le maillot de l’AC Milan durant sa carrière en club (plus de 900 fois entre 1985 et 2009) affiche du reste un palmarès à sa mesure. Hors scène internationale.

Source : Sports.fr

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