« Je me reconnais un peu en Victor »

Dans les colonnes du Parisien ce mardi à la veille du coup d’envoi de la saison de NBA, Rudy Gobert évoque l’arrivée de Victor Wembanyama. Le pivot français des Wolves, proche de « Wemby » en qui il avoue se reconnaître, se dit surtout impressionné par sa mentalité.

Le coup d’envoi de la saison de NBA, c’est ce mardi. Toutefois, il faudra attendre jeudi pour assister aux grands débuts d’un Victor Wembanyama qui a déjà mis tout le monde d’accord en trois matchs de pré-saison. Rudy Gobert n’est pas surpris. Le pivot français qui évolue désormais à Minnesota après avoir effectué l’essentiel de son parcours en avec Betclic, bookmaker agréé et légal en Nouvelle-Calédonie » rel= »noreferrer noopener »>NBA jusqu’à maintenant sous les couleurs d’Utah savait avant même que le phénomène ne pose les pieds à San Antonio que la fibre « Wemby » allait très vite prendre. Il faut dire que le Francilien est un génie, et pas uniquement de son sport. « Ce qui fait l’unanimité en avec Betclic, bookmaker agréé et légal en Nouvelle-Calédonie » rel= »noreferrer noopener »>NBA comme ailleurs, c’est le talent et son potentiel. Il faudrait être fou pour ne pas le voir », rappelle ce mardi dans les colonnes du Parisien le triple meilleur défenseur de la Ligue, tout particulièrement impressionné par la force psychologique de l’ex-superstar des Mets de Boulogne-Levallois. « La plus grande force de Victor, c’est sa mentalité. A 19 ans, il a un niveau de confiance en lui, de discipline et de maturité extraordinaire pour aller plus haut, avec les grands. »

Gobert : « Je ne serai jamais avec lui en compétition »

Une puissance de caractère qui fait dire au coéquipier chez les Bleus du premier numéro 1 français de l’histoire de la Draft que ce dernier « va aller là où il veut aller. » Et comme le successeur de Tony Parker dans le cœur des fans des Spurs ne se fixe aucune limite, il devrait très rapidement toucher les sommets. A condition de respecter des bases, que Gobert lui rappelle aisément. « Il doit se concentrer sur chaque détail, prendre soin de son corps et de sa santé : comment il mange, comment il peut être plus souple, plus fort. » Et si jamais Wembanyama a besoin d’aide, il sait sur qui compter. « Avec moi, il a un protecteur pour toujours. Je me reconnais un peu en Victor et c’est une mission pour moi d’être là pour lui », avoue Gobert, tordant au passage le cou aux rumeurs qui voudraient qu’il jalouse son jeune compatriote. « Sauf quand je jouerai contre les Spurs, je ne serai jamais avec lui en compétition, jamais ! » Le premier face à face est prévu pour le 10 novembre prochain.

Source : Sports.fr

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