La Groupama Race de retour en juin 2024

La 8e édition du tour de Calédonie à la voile revient le 9 juin 2024. Elle réunira des monocoques et multicoques dans une course autour de la Grande Terre. Une nouvelle année marquée par le retour en nombre d’équipages Australiens et Néo-Zélandais. 2 courses de ralliement partiront de Sydney et d’Auckland, le 25 mai 2024.

Le tour de Nouvelle-Calédonie à la voile est de retour, en 2024. Les inscriptions pour la course sont ouvertes depuis ce lundi 18 décembre 2023. 

Au programme : 650 milles nautiques, soit environ 1 200 km à parcourir, autour du plus beau lagon du monde. Une course au départ de Nouméa autour de la Grande Terre, en sens inverse des aiguilles d’une montre. L’arrivée se fera à Nouméa, par le Cap N’dua au sud et le grand passage à l’extrême nord du territoire.

De nombreux voiliers calédoniens sont inscrits dans les différentes catégories. • ©David Sigal / NC la 1ère

Pour cette 8e édition, les équipages australiens et néo-zélandais devraient être de retour en nombre. “On a beaucoup plus d’équipages étrangers qu’en 2022 [pour la dernière édition], puisqu’on était dans un contexte post-covid. Avec des clubs qui ont été prévenus trop tard de la réouverture des frontières sur le territoire”, révèle Valérie Blondin, en charge de la communication au Cercle nautique Calédonien.

Deux courses de ralliement partiront de Sydney en Australie, et d’Auckland en Nouvelle-Zélande, le 25 mai 2024. “Ils vont venir enrichir les équipages engagés sur la Groupama Race. On s’attend à entre dix et vingt bateaux étrangers, qui ensuite vont faire la course. Et on espère au minimum, avoir une quinzaine de bateaux locaux”, poursuit Valérie Blondin.

Le parcours pour la Groupama Race 2024. • ©Groupama Race 2024 La suite du parcours de la Groupama Race 2024. • ©Groupama Race 2024

En 2022, 21 équipages étaient engagés dans la course, dont 4 étrangers. Une édition remportée par l’équipage du catamaran de 15 mètres, Rushour.

Les navires participants doivent mesurer au moins 8 mètres. Des monocoques et multicoques en équipage, en double et en mode cruising. “Cette catégorie permet de mettre le moteur en marche, pour se sortir d’une situation délicate », détaille Valérie Blondin. « Derrière, il y a un ratio qui est fait pour calculer le temps que vous auriez mis, si vous n’aviez pas allumé le moteur. Donc on rentre dans une catégorie différente. Mais cela permet aussi de s’adresser à un public un peu moins aguerri, mais qui se sent de tenter l’expérience”.

Les bateaux engagés dans la catégorie cruising pourront utiliser le moteur en mode propulsion. Ils ne pourront le faire que 2 heures après le départ.

Source : NC la 1ère

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