Les Cagous ne font plus qu’un à l’Université

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L’équipe de Calédonie s’est retrouvée samedi 22 juin à l’UNC pour un rassemblement à deux semaines des Jeux du Pacifique. L’occasion de faire naître l’esprit d’équipe avant de débarquer aux Samoa.

cagou univ

On ne voit plus rien des escaliers qui mènent au grand amphithéâtre de l’université de Nouvelle-Calédonie. À la place, près de 400 Cagous, tous aux couleurs gris, rouge et blanc de l’équipe, polo et pantalons de survêtement. Presque tout le monde est là pour la traditionnelle photo de famille. Premier acte d’une journée riche, qui s’est poursuivie dans l’amphi justement.

Dans les gradins, athlètes, coaches et encadrants écoutent attentivement les intervenants qui se succèdent sur l’estrade. Une fois la salle bien chauffée par Lax Wejieme, qui sera encore une fois l’animateur de l’équipe de Calédonie, c’est Claude Fournier qui a pris la parole aux côtés de Roger Kaddour et Paul Poaniewa. L’ancien président du CTOS, puis de la ligue de football, a rappelé les vieux souvenirs des Jeux. Président actuel du CTOS, Charles Cali a ensuite posé les valeurs qui lient les athlètes : respect, unité et excellence. Mais il a aussi rappelé les responsabilités qui accompagnent une sélection aux Jeux du Pacifique. « Vous êtes tous des ambassadeurs de la Nouvelle-Calédonie, a-t-il asséné. Je compte sur vous pour être irréprochable dans votre attitude. » Un cours magistral qui s’est bouclé avec les éléments pratiques sur le départ et le séjour.

Course d’orientation et tourniquet infernal

Le côté sérieux du rassemblement s’est ensuite effacé au profit de la partie plus ludique et les ateliers de cohésions. Par équipes de seize, tous sports confondus, les Cagous se sont retrouvés face à des défis très variés. Du quiz à l’atelier créatif, en passant par les défis plus physiques comme un tourniquet infernal, un parcours sur un toboggan glissant ou encore une course d’orientation autour de l’Université.

« C’est très ludique, s’amuse Isabelle Soero, archère et l’une des Cagous sélectionnées. C’est déjà le moment de rencontrer les autres athlètes dans un cadre détendu et sans la pression qu’on va forcément avoir durant les Jeux. »

Des liens qui se tissent et qui dureront toute la durée des compétitions à Apia et, pourquoi pas, bien au-delà.

Source : CTOS.nc

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