Sérieuse altercation au sein du staff du XV de France !

La tension était vive entre les membres du staff du XV de France avant le match face à l’Afrique du Sud, en quarts de finale de la Coupe du monde.

Le staff du XV de France n’a pas caché sa détresse depuis l’élimination des Bleus face à l’Afrique du Sud dès les quarts de finale. « Je suis au bord d’un pont, j’hésite à sauter », a ainsi résumé l’un de ses membres au Parisien. Et si quelques-uns, à l’instar de Laurent Labit, qui a pris ses nouvelles fonctions à la tête du Stade Français, ont vite basculer sur une nouvelle aventure, les regrets étaient vifs. Et ils l’étaient d’autant plus pour certains qu’ils n’avaient pas forcément été d’accord avec les choix opérés par Fabien Galthié.

A en croire le journaliste de L’Equipe Richard Escot, les discussions ont d’ailleurs été vives concernant le banc du XV de France face à l’Afrique du Sud et même l’équipe alignée face aux Boks. « Les joueurs français ne se sont peut-être pas fait assez mal sur le terrain. Sur le banc, de ce qu’on sait, les membres du staff se sont empoignés verbalement de façon assez musclée par ce qu’ils n’étaient pas d’accord. Il fallait peut-être Boudéhent… Et ils sont restés sur ce désaccord. Ça a beaucoup discuté et ils n’étaient pas d’accord sur le banc voir même sur la composition », a-t-il ainsi confié au micro de Sud Radio.

Et le rédacteur en chef adjoint de la rubrique rugby de dénoncer certains choix et même de stigmatiser certains joueurs du XV de France. « Je ne comprends pas comment on enlève Villière et on met Louis Bielle-Biarrey. C’est un gamin et on a bien vu qu’il était complètement perdu sur ce quart de finale. Quand c’est des hommes qui jouent au rugby, il faut mettre des gens un peu plus dur, a-t-il asséné, ajoutant : « Moi, je suis également surpris de la transparence de Gaël Fickou. On parle d’expérience mais cette expérience, elle doit être au service de joueurs qui ont encore la gnaque physique, cette dureté. J’ai été un peu déçu de voir que les joueurs d’expérience comme Fickou ou Ollivon n’étaient pas là. Ils n’étaient pas au rendez-vous. »

Source : Sports.fr

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